La conasse comme l’appelait mon collègue qui est parti bosser à Lausanne.

Il en faut beaucoup pour que je perde mon calme (indispensable à mon poste étant donné l’excité pour qui je travaille, ça temporise !), eh bien j’ai fait jackpot sur deux jours.

Dénominateur commun : le melon. Enfin, dans leur cas je dirais plutôt la pastèque.

Hier l’autre naze qui a remplacé mon adorable petit collègue nous a encore prouvé sa capacité à nous traiter comme de la merde ! Ok connard j’ai pas bac+12, ok j’ai pas d’avenir dans cette boîte (ou pour en avoir de toute façon faut avoir les dents de Dracula sous amphétamines) mais je vais t’expliquer un truc : pour avoir un rv avec TON supérieur hiérarchique, il faut que tu passes par moi, et comme tu me parles pas correct, je vais te pourrir la vie, dommage que je ne sois plus là que pour 2 jours car j’aurais usé de ma position pour te foutre un max de bâtons dans les roues de ton ascension professionnelle. T’arriveras jamais à la hauteur de l’autre, qui lui s’élevait tout seul et pas en méprisant l’autre.

Pour ce qui est de la conasse d’aujourd’hui, c’est la même version féminin (si on peut dire féminin dans son cas vu le boulet, mais bon pas d’attaques mesquines sur le physique), doublé de l’incompétence et du nombrilisme. Mais comment une telle connasse, que tout le monde déteste dans la boîte, peut-elle être à ce poste là ? ? ?

Je pense que d'ici quelques jours je vais compter mes amis, maintenant que je vais plus bosser pour le grand chef argentier de la boîte, tous les lèche-bottes vont m'ignorer ! J'ai pas besoin de vous pour vivre, et même, je m'en porterai mieux.